Il est important de se rendre compte qu'en fonction des événements, les motivations des personnes à s'impliquer dans ces organisations terroristes seront différentes.
J'imagine si Mahmoud Darwich était un Tunisien, il passerait toute la journée dans un café à l'avenue Habib Bourguiba, sirotant un café express à 1.500 millimes. Quand le serveur du café viendra chercher l'addition, il lui sortira un vers de poésie pour lui signifier que le café est l'ami du temps, il se sirote lentement.
Voilà où en est réduite l'Algérie du XXIème siècle ! Une institution majeure qui relève de la sécurité de l'état se sente obligée de répondre aux errements des promoteurs de l'ignorance et de l'aléatoire. Naguère c'était confiné dans quelques mosquées hantées par les voix de la régression, mais là c'est porté par des médias lourds destinés à des échelles de consommation insoupçonnées. Quand cela arrive à l'heure où vous prenez votre café croyez moi que votre journée s'annonce dure.
Avez-vous l'impression d'être toujours attirée par les hommes qui ne s'intéressent pas à vous et d'attirer des hommes qui ne vous intéressent pas?
Un silence qui fait beaucoup de bruit. Celui d'Amar Saïdani qui ne s'est curieusement pas exprimé sur le tweet empoisonné de Manuel Valls. Habituellement le premier à fanfaronner, à sonner les trompettes, à chauffer les tambours, à se dresser en rempart contre tous ce qui touche au "vieux loup", il a choisi cette fois le silence plus que sot ... des agneaux !
L'OPEP se décrit volontiers comme une entité cohérente, solidaire et capable de bâtir des accords en interne au nom du pragmatisme et de l'intérêt de tous ses membres. C'est cela qui vient d'être sérieusement écorné.
Si l'OPEP devient, comme ce fut le cas de manière brève au milieu des années 1980, un terrain d'affrontement entre Arabie Saoudite et Iran, ses intentions risquent de ne pas être prises au sérieux. Et, du coup, certains membres, dont l'Algérie, peuvent se demander s'ils ont intérêt à rester en son sein.
Jadis, les jeunes turcs avaient amorcé la chute de l'empire Ottaman en marginalisant les communes lointaines de l'Empire les poussant à la révolte. Les "vieux" tunisiens, dénient la commune lointaine où des jeunes croulent devant le manque de reconnaissance et le dénigrement à coup de formatages et de "C'était mieux avant".
Je suis ravie d'annoncer qu'après s'être porté acquéreur de RYOT, société de réalité virtuelle et interactive, le HuffPost crée aujourd'hui HuffPost RYOT. Ensemble, nous vous proposerons une gamme entièrement nouvelle de contenus, qu'il s'agisse de réalité virtuelle, de longs-métrages ou de vidéos 360°.
Comment aider l'île de Djerba à produire de nouveau de l'énergie verte et inciter simultanément les citoyens à se montrer responsables?
L'Islamic Finance News rapporte dans son édition du 14 avril dernier que les pays membres de la Banque Islamique de Développement (BID) au travers du fonds Vie et Moyens d'Existence allaient bientôt recevoir une donation de 2,5 milliards de dollars de la part de la Fondation Bill & Melinda Gates. Le Qatar s'est joint à l'initiative et s'est engagé à participer à hauteur de 50 millions de dollars via son fonds de développement.
Comme en miroir à la phrase inaugurale de Camus, Fawzia Zouari oppose, à la dernière page de l'épilogue de son livre, le corps de ma mère, la phrase: "... aujourd'hui, ... maman n'est pas morte ", d'où notre titre car il nous semble rendre parfaitement compte du récit (...) du roman (...) de l'écrivaine franco-tunisienne.
Il ne faut pas se voiler la face. C'est un euphémisme, que de le dire. Tous les détracteurs de L'Algérie ne demandent qu'une seule chose: l'échelle de son développement après la chute des prix du pétrole.
L'émergence du Mouvement pour l'autonomie de la Kabylie (MAK) dans l'espace politique algérien marque, indéniablement, un tournant dans le débat politique national. Au-delà des interrogations sur son importance et son poids numérique, l'écho ou l'intérêt qu'il peut susciter chez la population concernée, la population kabylophone, doit désormais être regardé de près.
Quand les dauphins n'obtiennent pas ce qu'ils veulent, ils modifient leurs comportements, souvent de façon ingénieuse, pour atteindre leur but.
MODE - "Détourner le regard des hommes ou l'attirer, c'est la même chose. Cela se fait toujours par rapport aux hommes." C'est là que réside, selon moi (et Christine Delphy), la véritable vision féministe. En France, on ne supporte pas le voile, non pas parce qu'il est un symbole de soumission, mais bien parce qu'il est étranger, exotique, indigène. Non, ce n'est pas l'infériorité des femmes que l'on ne supporte pas... si c'était le cas, on le saurait.
INTERNATIONAL - Aujourd'hui, comme hier, il semblerait que les entreprises étrangères déjà bien installées au Maghreb, n'aient d'yeux que pour le Nord, alors que c'est au Sud que beaucoup de choses vont se passer dans les prochaines années!
DRAME - Une séquence vidéo, terrible et malheureusement devenue habituelle, d'une personne immolée par le feu, se débattant au milieu des flammes, tombant par terre et succombant ensuite à ses brûlures profondes et étendues. C'est celle de Fatiha, la cinquantaine, vendeuse ambulante devant les portes d'un marché populaire dans la petite ville de Kénitra au nord de la capitale du Maroc.
Cet article est une tentative d'analyse de la révolte appelée le "Printemps noir"» qui a secoué la Kabylie en avril 2001, 21 ans après la révolte du "Printemps berbère", en avril 1980. Il interroge la thèse selon laquelle il s'agit d'"émeutes ethniques"», exprimant principalement, une énième fois, la spécificité culturelle et linguistique kabyle. Surtout, il s'interroge sur les rapports complexes que ces événements ont révélés entre les élites politiques traditionnelles de la région, dépassées par l'ampleur de la contestation juvénile, et de nouvelles élites politiques, à ancrage local plus prononcé sans être toutes pour autant favorables à la revendication d'"autonomie de la Kabylie
Tu te maries! J'en suis ravie pour toi. Tu es rayonnante, ça se voit. Félicitations donc, mais saches une chose: ton mariage, je m'en fous. Voilà. C'est lâché. J'en ai rien à cirer.